
En campagne
Sandrine Chaix : « Meylan est la ville que j’ai choisie… » (DL)
La candidate (Les Centristes) a tenu sa réunion publique de lancement de campagne, jeudi soir au Coloft de Meylan. Près de 200 personnes étaient présentes.
C’est donc dans une veste bleue, et devant une affiche de même tonalité (avec une touche de vert et de rouge néanmoins) que cette dernière a tenu sa grande réunion publique de lancement de campagne, jeudi au Coloft de Meylan. Près de 200 personnes avaient fait le déplacement, et deux petites vidéos ont été diffusées : la première avait été envoyée par les sénateurs LR Frédérique Puissat et Michel Savin qui ont fait la « promo » d’une candidate « qui a toujours soutenu ses positions, sans en changer ». La seconde avait été envoyée depuis la Normandie par Hervé Morin, l’ancien ministre et président des Centristes - Le Nouveau Centre, parti de Sandrine CHAIX.
« Sandrine a l’humanité qu’il faut pour faire ce boulot » « Être maire, c’est être chef d’une tribu, et Sandrine a l’humanité qu’il faut pour faire ce boulot », a-t-il dit. Dans la salle, on pouvait également reconnaître la conseillère régionale et n° 2 des Républicains, Nathalie Béranger et les maires Cécile Curtet (Saint-Paul-de-Varces), Cédric Garcin (Murianette) et Dominique Escaron (Le Sappey-en-Chartreuse) notamment. Pour commencer son discours, celle qui est aussi vice-présidente à la Région a voulu couper court aux rumeurs disant qu’elle n’habite pas ici. Certes Corençaise pendant plus de 30 ans, elle a expliqué avoir déménagé à Meylan il y a plusieurs années, parce que « c’est une ville que j’ai choisie et qui nous faisait rêver ». Puis elle a embrayé sur « le » sujet des municipales à Meylan : l’urbanisme. « Moi, je ne peux pas rester sans rien faire quand je vois la commune, dans laquelle j’ai voulu m’installer, se dégrader. Au lieu de critiquer dans mon coin, j’ai préféré agir et me présenter. » Elle explique ensuite qu’elle est pour cela entourée « d’une équipe dynamique » qu’elle a notamment construite grâce aux multiples porte-à-porte réalisés. C’est d’ailleurs au cours de ses rencontres qu’elle dit avoir réalisé à « quel point la surdensification est devenue la préoccupation n° 1 des habitants ». Elle évoque les constructions passées et réussies, celles des Béalières et des Buclos, « où les immeubles étaient pensés pour s’intégrer dans le paysage », et elle les oppose aux récentes « constructions massives. » Elle critique « la volonté » de Philippe Cardin « de coller au projet métropolitain en faisant en priorité des logements très sociaux ». « Des familles de quartiers de Grenoble, comme Mistral, viennent s’installer dans des appartements neufs, alors que des Meylanais restent dans des logements à la limite de l’insalubrité. » Elle dit qu’il faut écouter ce que « les gens ont à dire sur la transformation de leur ville », et elle promet qu’elle le fera si elle est élue maire en 2026. « Il est temps d’avoir une vision d’ensemble sur l’urbanisme de Meylan. Oh bien sûr, il y a des coups partis qu’on ne pourra pas rattraper, mais pour les autres projets, on doit les retravailler. »Je n’ai pas honte de brandir le drapeau tricolore, il n’y a rien d’extrémiste à cela. Si je suis élue maire, tous nos bâtiments publics en seront ornés.
Soutien de Frédérique PUISSAT et Michel SAVIN
Loyauté, pragmatisme et proximité : Les sénateurs apportent leur soutien à Sandrine CHAIX pour les municipales de mars.
▶Soutien d'Hervé Morin
Sandrine a l’humanité et l’expérience pour rassembler et agir.
▶Le Dauphiné
Ève Moulinier
5 décembre 2026
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