Meylan au cœur, l'avenir en tête Élections municipales Meylan — 15 et 22 mars 2026
menu
Stationnement : l’addition sans fin. À Grenoble, se garer est devenu un parcours du combattant… et surtout un business sous contrainte. Moins de places, des tarifs toujours plus élevés, et maintenant des moyens de paiement dignes d’un autre siècle. À ce stade, ce n’est plus du stationnement : c’est une taxe déguisée sur la vie quotidienne.
icone

Déplacements, Stationnement, Accessibilité

Racket organisé sur le stationnement à Grenoble — payer pour se garer, payer pour payer

À Grenoble, se garer est devenu un parcours du combattant… et surtout un business sous contrainte. Moins de places, des tarifs toujours plus élevés, et maintenant des moyens de paiement dignes d’un autre siècle. À ce stade, ce n’est plus du stationnement : c’est une taxe déguisée sur la vie quotidienne.

Stationnement : l’addition sans fin

Franchement, il y en a marre. Le nombre de places a été massivement réduit. Les tarifs figurent parmi les plus élevés pour une ville de cette taille. Et comme si cela ne suffisait pas, payer devient lui-même un problème.

Les horodateurs sont obsolètes : ils n’acceptent que les pièces. En 2025. À l’heure où tout le monde paie en carte ou en numérique. Beaucoup de conducteurs n’ont tout simplement plus de monnaie sur eux. Résultat : stress, perte de temps, et verbalisation.

Et si l’on souhaite payer par carte bancaire ? Une seule solution : l’application, qui prélève au passage plus de 13 % de frais.

Non seulement on supprime les places, non seulement on augmente les tarifs, mais on ajoute en plus une surtaxe pour le simple droit de payer.

Moins de places. Plus cher. Et maintenant des frais supplémentaires. À chaque étape, l’usager est perdant. Ce système pénalise tout le monde
  • Les habitants, pris au piège au quotidien
  • Les travailleurs, qui n’ont souvent pas d’alternative crédible
  • Les commerçants, dont la clientèle renonce à venir en centre-ville
  • Les personnes âgées, exclues du paiement numérique
  • Les familles, déjà sous pression financière

Le stationnement devrait être un outil d’organisation urbaine, pas un instrument de ponction.

Ce qui se passe aujourd’hui à Grenoble n’a plus rien à voir avec l’écologie, la fluidité ou la modernisation : c’est une logique purement punitive et financière. On restreint, on renchérit, on complique… et on encaisse.

C’est quoi la prochaine étape ?

Actualités récentes