Meylan au cœur, l'avenir en tête Élections municipales Meylan — 15 et 22 mars 2026
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Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
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Sport — Stade Albert Batteux, Gymnase des Buclos

Ce week-end au menu, du foot au hand, du plaisir… et quelques frustrations…

Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective.

Au stade Albert Batteux, la victoire du cœur

Avec Stéphanie POURRET, direction le stade Albert Batteux pour encourager les équipes de l’Entente du Rachais.

  • Les U17 l’ont emporté 4–2 face à Seyssinet.
  • Et après trois défaites consécutives, les Seniors signent une belle victoire 3–2 contre Saint-Priest !

J’avoue avoir un peu honte quand je vois que faute de gradins, les supporters — parents, grands-parents, amis — sont contraints de s’assoir par terre sur un monticule de terre humide ou d’amener leur propre chaise pour suvire les matchs. Pas vraiment l’accueil qu’on aimerait offrir à celles et ceux qui font vivre le club chaque week-end.

Depuis six ans, aucune amélioration ni rénovation du terrain voisin. Pourtant, une idée simple existait : pourquoi ne pas avoir envisagé un partenariat public-privé avec le voisin Lidl, installé juste à côté, pour valoriser le site ?

Il n’est peut-être pas trop tard… Municipales 2026 !

Au gymnase des Buclos, le combat des handballeuses

Changement de décor : cap le gymnase des Buclos, où l’équipe féminine de Meylan Handball affrontait Saint-Égrève. Malgré une belle énergie et les tambours des supporters, le match s’est soldé par une défaite : 20 à 27.

Aude-là du score, un grand bravo aux joueuses pour leur combativité et leur engagement. Merci à Sonia, ancienne handballeuse, pour ses commentaires avisés — grâce à elle, j’ai compris quelques règles et subtilités de l’arbitrage.

Petit bémol : les toilettes à la turque, toujours là… on a connu mieux pour accueillir les spectateurs et les équipes.

Derrière ces petits tracas, une chose est sûre : Meylan vit grâce à son sport, ses bénévoles, ses supporters et ses jeunes.

Soutenir nos clubs, c’est faire vivre une ville fière, vivante et tournée vers l’avenir.

Continuons à faire de Meylan un lieu où le sport rassemble et où chaque match devient un moment de partage et d’énergie collective.

C’est aussi ça, le lien social : être ensemble, sur et autour du terrain.

Lieu : Stade Albert Batteux, Gymnase des Buclos


Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.
Un samedi sportif à Meylan, partagé entre le stade Albert Batteux et le gymnase des Buclos. Deux ambiances, deux disciplines, une même passion collective… et quelques frustrations bien locales.

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